Il était une fois dans un château splendide, un prince qui devait dormir jusqu’à cent ans. Seul le baiser d’une princesse le réveillerait. Cette princesse s’appelait Océane. Un jour, alors qu’elle se promenait, elle découvrit le château. Elle vit le prince endormi et l’embrassa mais ça ferait cent ans dans deux jours qu’il dormait. Il ne réveilla pas. Elle revint le voir le lendemain, sans plus de succès. Le jour d’après, il se réveilla enfin de son profond sommeil. Il avait gardé sa jeunesse et son intelligence. Il s s’aimèrent dés le premier regard. Ils publièrent leur banc et se marièrent un mois plus tard. Ils eurent un enfant qui eu un don de chaque fée mais il avait oublié Ernella. Elle jeta une malédiction sur le berceau de la fille. Le jour de ses dix-huit ans, elle se piquerait le doigt et mourrait. Le prince affolé fit brûler tous les fuseaux du château. Une fée qui n’avait pas fait de vœux se pencha sur le berceau et dit : tu ne mourras pas mais tu dormiras pendant cent ans. Le jour de ses dix huit ans, la princesse se pique et s’endort ainsi que tous les gens du château. Cent ans plus tard, un prince vit le château, découvrit la princesse endormie l’embrassa et la réveilla. Ils se marièrent eurent beaucoup d’enfants et vécurent heureux jusqu’à leur mort.

En ce jour de l’an 2000, une adolescente trouve une bague qui a des pouvoirs surnaturels. Elle l’enfile à son doigt et un frisson lui parcourt le corps. Soudain, un orage éclate et il l’envahit d’une lumière aveuglante. Dans son étonnement, elle reste figée sur place, les yeux fermés. Quand elle les ouvre de nouveau, elle est dans sa chambre. Le soir, elle dort et plonge dans un rêve fabuleux. Le lendemain, quand elle se réveille, elle se rend compte que son rêve s’est réalisé. Elle se dit que c’est une coïncidence. Elle pense soudain à la bague et se demande si la cause de tout cela n’est pas dû à ce bijou. Elle essaie de l’ôter mais n’y parvient pas. Elle en parle à ses parents qui lui dirent que tout ceci n’est que pur hasard.
Un mois passe et ses rêves se réalisent toujours, alors elle se dit que ça ne peut pas être le fruit de son imagination. Elle essaie de rêver qu’elle voit des fantômes et le lendemain elle se trouve devant l’apparition de son arrière-grand-mère décédée il y a trois ans. Une semaine plus tard, elle ne pense plus à la bague et la frotte machinalement sur son pantalon. Alors apparaît une belle jeune fille à l’apparence d’une fée qui lui explique de l’anneau est un don de toutes les créatures merveilleuses et qu’il lui est destiné. Ce cadeau à le pouvoir de réaliser les rêves qu’elle ferait le long se sa vie. Elle disparaît dans un éclair aveuglant.

Un jour, pendant que mon père lisait le journal, je vis qu’une petite annonce attira particulièrement son attention. Il me regarda droit dans les yeux, me dit d’enfiler mon manteau et m’emmena direct à la SPA. Il me dit qu’il avait vu une petite annonce qui parlait d’un chien abandonné et justement ce chien se trouvait ici. Depuis des années, il avait l’intention d’en acheter un mais ce n’était pas possible car la maison était trop petite mais maintenant que nous avions déménagé, mon père me dit que nous allions sen adopter un. Il me montra celui qu'il avait vu dans le journal. C’était un petit chiot qui ne devait guère avoir plus de deux ans. Il avait les yeux couleur noisette, de grandes oreilles dressées en pointe, les poils très courts, une jolie petite queue touffue et une petite tache blanche sous le cou. Ses yeux me fixèrent un instant, ce petit être semblait vouloir me dire quelque chose. Un truc du genre : Eh toi ! oui, c’est à toi que je parle, petit bonhomme. Achète-moi, je suis encore petit mais je viendrai te faire des câlins le matin dans ton lit, on ira se promener tous les deux et le soir je viendrai me blottir dans ton lit tout contre toi ! Oui, je lus tout cela dans ses yeux. Je me tournais alors vers mon père et lui montrais le chien du doigt en disant que c’était celui ci que je voulais. Alors nous l’adoptâmes et lui aussi nous adopta. Nous décidâmes de l’appeler Tendresse. Et Tendresse fit tout ce que j’avais lu dans ses yeux. C’est un petit chiot très affectueux. Et c’est comme cela que Tendresse entra dans notre famille.

Un jour d’hiver, un garçon de huit ans sort dehors pour faire un bonhomme de neige et il trouve un oiseau engourdi par le froid. Il enlève son bonnet, prend délicatement l’oiseau dans sa main et le met dedans pour le réchauffer. Puis il rentre chez lui, prend une boîte à chaussure et y met du coton, du pain et une écuelle d’eau. Il y dépose le volatile qu’il recouvre avec une très petite couverture. Plusieurs semaines passent et le petit rouge gorge est à nouveau sur pied, il s’envole par la fenêtre. Mais tous les ans à la même époque, il revient chez Dominique qui l’héberge jusqu’au beau temps. Puis un jour, il fonde une famille et retourne là-bas pour montrer au garçonnet sa petite famille. Et depuis il y va tous les ans et a toujours une place là-bas jusqu’au printemps.

Je suis une adolescente de dix-neuf ans, je vis dans un château qui date du XI° siècle. Ma famille est composée de mon père, député de notre ville, ma mère, infirmière, ma sœur qui fait des études de gestion et de mon frère maçon. Hier j’ai découvert un album de famille où j’ai vu la photo de mes vrais parents. Je suis adoptée. Mes parents adoptifs touchent une pension pour pouvoir subvenir à mes besoins. Ma vraie famille habite dans le midi. Je décide de partir à sa recherche. Je prends mon sac à dos, y fourre de l’argent, des vêtements, du maquillage et de la nourriture. Je décide de prendre un taxi jusqu’à la gare et d’aller en train dans le midi. J’arrive à douze heures en gare. Munie d’une photo de mes parents, je pars à leur recherche. On m’indique rapidement la maison. Ils habitent 16 rue du Muguet. Un taxi m’emmène jusqu’à leur villa. Mes parents ont l’air riches. Je sonne à la porte, une dame m’ouvre. Soudain, elle me reconnaît, m’appelle son bébé et se met à pleurer à son enfant retrouvée. Elle est institutrice et son mari avocat. Nous faisons rapidement connaissance. Je décide de m’installer définitivement chez eux. Ils me fournissent rapidement une nouvelle garde robe, des bijoux et m’offrent leur plus belle chambre d’amis. J’ai vécu de beaux jours en leur compagnie. Ils sont maintenant décédés. Mon père à 80 ans et ma mère 75 ans ; J’ai assisté à leur enterrement et j’ai hérité de leur villa et de leur fortune. J’ai maintenant 75 ans aussi, j’attends la mort sereine. Je m’éteins le jour de mes 76 ans à 9h du matin, on m’enterre près de mes parents. Ma fortune et ma villa reviennent à mon fils Stevens, âgé de 40 ans, marié à Luna et papa d’un petit Eric de 3ans et de Mathilde, 6 ans.

Un jour, alors que j’admirais un magnifique coucher de soleil, je trouvai un oiseau qui gisait par terre. Il respirait faiblement. Je le ramassai délicatement et le déposai dans mon bonnet pour le réchauffer. Puis je le ramenai chez moi pour le soigner. L’oiseau repris des forces jour après jour. Quand il fut assez fort pour s’envoler je l’emmenai dehors et il partit. Puis des jours passèrent paisiblement. J’e pensais souvent à lui. L’hiver arriva avec un tapis de neige blanche. Alors que j’étais sortie pour donner à manger à mon chat, un oiseau vint se percher sur mon épaule. Je le reconnu à sa tâche rouge sur la tête. C’était l’oiseau que j’avais guéri l’année dernière. Je rentrai à l’intérieur avec lui, puis, je pris un carton à chaussure, y déposai du coton, deux réserves pour nourrir les oiseaux l’hiver. Je l’installai dans son petit nid douillet. Notre petit ami que nous avions baptisé Rococo passa tout l’hiver avec nous bien au chaud dans sa petite maison. Puis, quand il fit plus chaud, il repartit avec sa famille. Mais chaque hiver il venait nous rendre visite et repartait quand il faisait meilleur.